Le monde de l’entrainement, du fitness et de la salle de sport est très vaste. Il existe de nombreuses facettes qui varient selon le type d’entrainement, les objectifs à atteindre et le matériel impliqué. L’un des mondes les plus connus est celui de l’haltérophilie, dans lequel on retrouve, en tant que discipline emblématique de cet art, le Powerlifting.
Ce nom fait référence au type d’entrainement qui voit l’athlète avoir l’intention de soulever autant de poids que possible. Ce sport est né vers les années 70 et les premières compétitions ont eu lieu aux États-Unis, inspirées des compétitions olympiques d’haltérophilie.
Ce sport met l’accent sur l’expression de la force maximale; par similitude en powerlifting, les principes logiques et méthodologiques de l’haltérophilie olympique, c’est-à-dire de l’haltérophilie olympique, sont suivis, plus ou moins fidèlement.
Caractéristiques du powerlifting
La discipline implique l’athlète individuel dans un effort physique qui peut être effectué en trois versions différentes: le squat, le développé couché et le soulevé de terre. Ce sont également les trois types d’exercices fondamentaux qui sont effectués pendant l’activité de powerlifting, afin de faire de chaque entrainement une simulation de compétitions réelles.
En effet, en compétition, chacun des trois mouvements peut être exécuté en trois tentatives, généralement incrémentales, et le but est d’atteindre et de dépasser sa limite, en soulevant le plus de poids possible. La caractéristique de ce sport est certainement le développement d’une excellente technique mais aussi une attention particulière à la force pure et à la résistance à l’effort.

Ce n’est que récemment que ce sport a été séparé de l’haltérophilie: en effet, cette dernière discipline fait référence au levage de la barre du sol vers le dessus de la tête de l’athlète, tandis que l’haltérophilie implique des mouvements plus courts et donc avec des charges plus élevées.
Entrainement de powerlifting: en quoi consiste cet entrainement ?
Cette discipline se caractérise par la recherche et l’entrainement de la force pure, qui permet à l’athlète de soulever le poids maximum possible en un seul coup, c’est-à-dire un maximum de répétition.
Ainsi, les exercices que l’athlète effectuera sont axés sur l’apprentissage et le perfectionnement de gestes spécifiques, qui doivent être optimisés. L’entraînement des athlètes pratiquant cette discipline tourne autour d’équipements tels que des disques, des barres, des ceintures et d’autres.
Ces gestes doivent être pris en charge du point de vue du schéma moteur et de la technique; en augmentant la force de tous les muscles impliqués, qu’ils soient primaires, secondaires ou stabilisateurs; nous travaillerons sur la mobilité articulaire, la stabilité et la souplesse des muscles.

Il faut comprendre qu’il existe deux types d’entrainement, dite équipée et non équipée; cette différenciation et le type de compétitions auxquelles participer sont définis en fonction de l’âge, du sexe et du rapport poids/puissance de l’athlète. Malgré cela, les objectifs de la compétition restent les mêmes.
Comme mentionné ci-dessus, le powerlifting est divisé en classique, également appelé brut, et équipé: dans certains cas, il est possible de le réaliser avec le corps libre. Dans le cas de la version équipée, on se réfère généralement à deux champs: celui du bench shirt, c’est-à-dire une combinaison spécifique rigide et de soutien, utile pour améliorer les performances au développé couché ; ou la combinaison squat-soulevé de terre, également dans ce cas une tenue, c’est-à-dire une combinaison généralement utilisée pour le squat et le soulevé de terre.
Entrainement et principes de base
Ce qui caractérise cette discipline et sert donc de principe de base, c’est précisément l’utilisation de poids dans l’entrainement.
Pourquoi leur présence est-elle si évidente ? Parce que l’athlète qui pratique le powerlifting s’entraine en se concentrant sur l’entrainement en résistance, c’est-à-dire l’entrainement contre la résistance, qui profite donc des surcharges.
Cependant, les types et les méthodes d’entrainement peuvent être très variés, à tel point que certaines méthodes ne se concentrent que sur des gammes limitées d’exercices et mettent l’accent avant tout sur la maîtrise des mouvements de levage et de compétition.
Spécificité: méthode du pourcentage
Parmi les différentes alternatives d’entrainement pour l’haltérophile, une méthode en particulier est la plus utilisée: le soi-disant pourcentage, basé sur la gestion des paramètres d’intensité et de volume au sein de l’entrainement. Ces deux-là, additionnés, donnent la charge totale d’entrainement que l’on pourrait imaginer comme la « fatigue globale ».
L’intensité est estimée, en pourcentage, sur une répétition maximale. D’autre part, le volume est affecté par des sous paramètres, tels que les répétitions, les séries et les temps de tension musculaire.
Étant donné que le powerlifting se concentre sur l’expression de la force maximale, qui n’est améliorée que par un entrainement à des pourcentages élevés dans une répétition maximale, le paramètre central, sur la base duquel modifier les autres, est l’intensité.

Cependant, il faut également tenir compte du fait que les adaptations musculaires et nerveuses qui vous permettent de devenir plus fort ont, en partie, également des corrélations proportionnelles avec le volume: nous entendons donc le calcul du poids que l’on peut soulever en unités de temps appelées, dans le jargon vulgaire, le tonnage.
D’autre part, la densité est la relation entre le travail actif et la récupération passive, et c’est un paramètre qui n’a que peu d’importance dans cette discipline car on dit que la fatigue, comprise comme la fatigue et le manque d’énergie, est le pire ennemi de la force.
Nous entendons par là que pour améliorer la technique, la coordination intra et intermusculaire, la neuro-activation, … il est nécessaire d’être assez clair mentalement et frais sur le plan musculaire et métabolique.